Joli succès pour cette randonnée lointaine... 28 CCViens au départ. Bravo, respect. Quelle assiduité ! Pourtant 5 autres clubs nous ont dépassé en numérique, pour une participation totale de 565, voilà qui fait rêver. En tous cas, belle organisation, parcours sympathique autour de la Saves, agréablement vallonné dans sa première moitié. Météo plus que correcte, avec un retour "just in time" avant l'arrivée de la pluie. Pourtant 2 petits degrés au départ, pas de quoi mettre jambes et mains à l'air comme dans le courant de la semaine passée, pourtant certains s'y sont risqués et se sont frigorifiés sur les premiers kilomètres de la randonnée. Avec 28, du jaune partout sur la route, dans les paquets des circuits rouges et bleus. Il fallait la malchance de notre "barça" national dont nous nous réjouissions du retour parmi nous, pour briser sa chaîne dès les premiers tours de roues. Adieu la rando pour le Barça ! En tête du peloton, l'allure fut vive mais fort heureusement jamais extrême permettant une certaine cohésion jusqu'au ravito. Retour calamiteux... en accordéon alternant les coups de "flingue" à plus de 50km/h avec de gros ralentissements à 25... Les hommes forts du moment : Jérôme, Laurent, Jean-Marc, Jean-Luc R (il a ressorti le Fondriest et sa fameuse plaque...) sans surprise et et et Grégory, encore lui, je vous avais dit qu'il fallait se méfier. On se réjouit de la participation de Verfeil, PSG, Claude, Eric L ainsi que Didier D, le "petit" nouveau. Sans oublier Jean-Luc B, Pascal, La Grinche et le Doc, en bonne position. J'oublie de citer nos travailleurs solitaires aperçus ça et là, bien cachés dans les paquets : Olivier, Gérard B, Gérard G, Grégoire, Bernard, Agnès, Henry E, Sergio, Bernard C, Christian B. Le compte n'est pas bon j'en oublie certainement...
Quelques mots tout de même du train jaune et ses 4 vaillants passagers (Jean-Luc R, Jean-Marc, Laurent et Polo), accompagnés du Doc au retour, parti à 6h30 de nos terres et de retour avec 150km au compteur...

16 CCViens au départ de la rando de Blagnac ce matin, dont 8 intrépides qui n'ont pas eu peur de grimper à bord du train jaune de bonne heure au départ de nos terres. A la faveur d'un parcours peu sélectif, le groupe est resté groupé en quasi totalité jusqu'au ravitaillement, avec la mise en place de relais bien huilés dans un léger vent défavorable. Le retour fut un peu plus chaotique, les forces venant à manquer pour certains, et les fourmis venant dans les jambes des autres. Le train a du semer ses wagons un après l'autre, et les locomotives, "toute vapeur", après de longs mois de frustration et d'attente, ont pu dévoiler leur état de forme. Quelques "intrus" se sont mêlés à nos effectifs, créant d'inévitables désagréments dans la prise de relais parfois un peu secs, suivis inévitablement de ralentissements... mais dans l'ensemble tout s'est fort bien passé et tout le monde a pu rejoindre l'arrivée puis nos terres sans dommage. Météo clémente mais la grisaille ne s'est finalement déchirée qu'à notre retour... On aura noté qu'Alex, Jérôme, Jean-Marc et Lolo sont déjà au mieux. Jean-Luc R a du travaillé une nouvelle tactique d'entrainement cet hiver, mais qu'as tu fait de ta grande plaque qui fait si mal à nos jambes ????!!!  Grégory s'est accroché avec générosité, et il n'a manqué beaucoup pour accompagner la tête jusqu'à l'arrivée. Retour remarqué autant qu'apprécié de la Grinche parmi nous, accompagné de Pascal sur le circuit bleu. Bernard et Agnès ont co-roulé sur le parcours bleu aussi. Prix de la combativité et du mérite à Jean-Luc B et le Doc qui n'avaient pas 120km dans les jambes, le retour fut difficile surtout dans la côte de Charta, mais ils l'ont fait ! Prix du bon samaritain à Jean-Marc qui a piloté le grupetto sur le retour. J'allais oublier Grégoire et Gérard, toujours pugnaces et solitaires dans l'effort aujourd'hui réunis. Quant à votre Polo, même si le poignet et l'épaule n'en finissent pas de se rappeler à son bon souvenir, il est un président comblé de retrouver ses fidèles du dimanche matin !

Bien à contrecoeur, je me dois aussi de relater qu'il y avait 6 CCViens au départ de la rando FFCT de Montastruc. On ne leur en veut pas, enfin si quand même un peu...  S'ils étaient venus à Blagnac on aurait gagné ! 

Pour dimanche 26/02, rando de Blagnac, le rdv se fera sur place pour un départ à 8h précises.  Attention le départ n'aura pas lieu du même endroit que l'année dernière mais du stade qui se trouve sur les berges de la Garonne. Voir plan d'accès : http://www.cyclotourisme-31.fr/Clubs/Randonnees/2012/CBlagnacAcces.jpg
Le train jaune partira de Castelmaurou à 6h50 pour un arrêt à St Genies Bellevue à 7h, et un deuxième arrêt aux Izards à 7h15. Si intéressés, merci de vous faire connaitre au plus tôt (on peut aménager d'autres arrêts). Lampes et gilets obligatoires. Rappel pour les novices : ne pas oublier la licence et 2,5€ ! Après la météo chaotique du mois de février, temps sec et doux au menu, aucune excuse pour ne pas quitter la tiédeur les draps ! Viendez tous.

Après les conditions hivernales des week-ends précédents et l'annulation de la rando d'ouverture de Sport 2000, il fallait honorer de notre présence la première rando de la saison ! Oui mais après quelques jours de soleil radieux, voilà que la pluie avait décidé de s'inviter en ce dimanche rien que pour jouer les trouble-fêtes ! Rien de bien méchant, pourriez vous dire après coup, car en effet on peut confirmer que seules quelques ondées éparses sont venues de temps à autre raffraichir nos visages, rendant surtout les routes humides et boueuses, pour la plus grande joie de l'éponge, du sceau d'eau, et de l'huile de coude qui allaient devoir prendre du service pendant notre après-midi pour nettoyer les montures ! Jolis parcours entre  Bouconne et le Gers, légèrement ondulés, mais point trop n'en faut. 11 CCViens ont répondu présent au rendez-vous, 3 d'entre eux ayant fait l'effort de monter à bord du premier train jaune de l'année, train en rodage donc, à allure modérée, qui s'est contenté du parcours bleu pour ne pas risquer un serrage : 125 km au compteur furent bien suffisants pour commencer ! Quant aux autres, ils se répartirent pour rouler "groupés" entre le circuit rouge pour les plus vaillants, et le bleu pour les plus prudents. Bravo à tous !

A 9h en ce dimanche matin, tout allait encore fort bien. Le ciel était gris et couvert après un début de matinée relativement clair même si la nuit avait été glaciale. -8 degrés au plus froid de la nuit, pas un temps à mettre un CCVien dehors, et pourtant ils allaient être 5 au rendez-vous. Jean-Luc B, Polo et Lolo sonnent le rappel sur la place de Castelmaurou, mais pas un seul autre vaillant à l'horizon. Sous les cache-nez, et autres pelisses bien étanches, on échange quelques mots furtifs, et puis on se met en route. Toujours pas l'ombre d'un flocon. Météo France annonce les intempéries pour la fin de la matinée. Direction Saint Loup Cammas. Mais déjà un flocon vient obscurcir le ciel, puis deux, puis tout plein. Misère ! De quoi nous laisser le temps d'un rapide aller-retour à La Salvetat ? A St Loup Cammas, nous prenons François au passage, motivé comme nous tous à en découdre. Mais Jean-Luc victime du gel de sa canalisation d'eau préfère décider de rentrer directement chez lui. Nous avions rendez-vous avec Jean-Marc à Fenouillet, on y va quand même. Ca ne glisse pas encore, la route est bien noire. Fonbeauzard, Castelginest, puis Fenouillet, maintenant il neige tout à fait. 9h30, nous sommes au rendez-vous, et nous devinons, sur les berges du canal du midi gelé ça et là, la silhouette caractéristique d'un CCVien qui nous rejoint à l'heure dite. Juste le temps de se saluer rapidement, de retourner le vélo, et se remettre en route vers nos terres. La neige tient à présent tout à fait sur la route, et nous commençons à nous demander si nous serons de retour à temps avant que ce ne soit tout à fait impraticable. Nous négocions les ronds-points avec prudence, c'est déjà très glissant. Il faut se hisser en haut de la côte de Pechbonnieu. C'est chose faite sans encombre. La route est totalement blanche maintenant et l'adhérence plus que précaire. Juste le temps à chacun de rentrer et passer la matinée bien chaud à regarder l'hiver enrober nos paysages sous son magnifique manteau blanc. Pour ce qui est de La Salvetat c'est raté ! Mille excuses, nous l'avons bien tenté... mais en vain. 

On annonçait la neige en ce dimanche matin. De neige point ! On attendait la foule des grands jours sur la place de Castelmaurou. Ce ne sont finalement que quelques vaillants qui sont arrivés au rendez-vous et quelques autres à les rejoindre en direction du point café. Un petit blizzard glacial nous gifle les visages pourtant soigneusement emmitouflés... Mais rien n'arrête nos 7 CCviens bien décidés à rejoindre Labastide. Le président de la fédé est là pour nous accueillir et offrir le café et on l'en remercie ainsi que tous les généreux du CVCC de Castelginest qui ont dressé le buffet dans la salle des fêtes de Labastide. On ne s'attarde pas trop après le café pour reprendre notre route. Un paquet conséquent se forme, tel un nuage de mouches (je n'en ai pas donné la couleur...) dans notre sillage, ces cyclistes là ayant décidé de rouler à l'économie dans nos roues plutôt que de faire preuve d'imagination d'itinéraire et d'énergie. Gargas, Bouloc, Ste Rustice, Pompignan, ça use ça use, avec ce petit vent et pas grand monde pour nous relayer. Par contre pour faire les malins devant dans les quelques talus qui agrémentent le trajet, là on aura vu plus de volontaires. Enfin de guerre lasse, nous décidons de mettre pied à terre dans Fronton, pour que l'essaim de mouche ne se décide à comprendre que nous ne voulons plus de leur compagnie peu amicale... Le vélo, ce peut être le meilleur mais des fois aussi le pire ! Enfin, fort heureusement, les 7 mercenaires enfin "seuls" reprennent leur route, vent favorable vers Vacquiers. A la faveur d'une crevaison, Eric nous fait le bonheur d'une petite pause bucolique à l'abri du vent. On lui suggère de garder le latex pour d'autres usages, et privilégier le butyl pour le vélo, surtout en hiver  Voilà, le retour se fait dans la convivialité, Alex et lolo sont aux commandes du train jaune, à rythme tout à fait raisonnable pour que le groupe reste entier jusqu'à Castelmaurou. Grégory, le  "bizuth" en a encore sous la semelle et nous accompagne dans la tournée de retour où chacun raccompagne les autres (vous savez c'est le truc interminable qui ne finit jamais comme avec le pain, le vin et le fromage, quand y'a plus de l'un on se ressert de l'autre). Pour revenir à Grégory, je vous conseille de vous en méfier, je flaire du -fort- potentiel sous sa pédale...

Verdict : environ 70km depuis Castelmaurou et jusqu'à 90km en comptant les sinueux détours empruntés par le train jaune. 500m de dénivelé à un peu plus de 27 de moyenne.

Les semaines se suivent et ne ressemblent pas. Météo douceureuse mais très humide en ce dimanche matin, enfin juste au lever du jour, histoire de dissuader définitivement les accrocs de la couette. Les absents ont toujours tort et le dicton n'a une fois de plus pas menti ! Nous sommes 4 vaillants à rejoindre la place de la mairie à 9h, pas un de plus, ni de moins. Et nous voilà partis, en direction de Saint Jory. Nous croisons Christian dans Pechbonnieu. Avait-il l'intention d'aller à Saint Jory et se serait-il laisser dissuader au moment où une petite averse de grésil bien fin nous brumise le visage. Voilà de quoi nous réveiller tout à fait ! Gratentour, Bruguières, et c'est le point café que nous trouvons sans encombre grace à un fléchage parfait ! Bravo Saint Jory. Ravis de voir que nous ne sommes pas les seuls courageux à affronter les caprices de la météo, la cour de l'école est bientôt pleine de visages connus et nous échangeons quelques mots d'amitié. Il est grand temps de se remettre en route. Nous avons du travail ! Vous penseriez : "les voilà seuls entre eux les méchants, ils vont pouvoir s'en donner dans les côtes". Et bien que nenni ! Nous avons fait un parcours de la plus grande platitude. 500 petits mètres seulement de dénivelé à déclarer, histoire seulement de se délasser les jambes ça et là... Pas de côtes donc, mais des kilomètres ah ça oui ! Et du vent, s'il vous plait, et un peu plus encore. Nos 4 acharnés, ravigottés par le bon café des saint joriens, ont entrepris la danse des relais bien huilés, à allure raisonnable mais sans relache aucune. Vous voyez ce que je veux dire ? Et tourner manège, dans un sens puis dans l'autre. De quoi user les bonhommes. Vers le Burgo (vous avez bien lu), je me risque à demander à Lolo s'il ne serait pas raisonnable de renverser la vapeur vers le sud. Jean-Luc se risque à ajouter qu'il n'a qu'une seule contrainte, celle de ne pas rater Stade 2. Aie, c'est pas gagné ! Frnçois (qui n'a toujours pas retrouvé son A) doit accompagner sa fille vers 15h, et commence à craindre ne rater son rendez-vous. Quand à moi j'ai soif et surtout très faim. Mes maigres victuailles ont été dévorées depuis longtemps, comme tout le monde, mais je ne vais me faire remarquer... Ouf un point d'eau, et une bonne excuse pour faire escale quelques précieuses minutes pour reposer les fessiers endoloris. Le balai reprend sans relache. Le vent de travers et de temps à autre franchement de dos, épargne toutefois nos ressources bien assez largement entamées. Quand nous arrivons sur nos terres, la côte de Charta achève notre anéantissement. Outre les poulardes dont nous rêvons, et qui traversent la route sous nos yeux allucinés, ce sont à présent les oreillés douillés que nous imaginons pour la sieste. Il n'est finalement "que" 13h et nous voilà rendus, fourbus et contents. Les vélos (et les bonhommes) sont plus crottés que si nous avions fait du vélo cross. Après la sieste, les machines vont passer un sale moment sous le jet d'arrosage. Bravo et merci Saint Jory.

Recette:  prenez 4 CCviens bien coriaces, faites mariner à feu doux pendant presque 4h, ça devrait donner 108,7 kms au compteur, 535m de dénivelé et 28km/h de moyenne, ambiance : on s'est fait la gueule tout le temps, comme d'hab

Quelle jolie sortie ! 11 CCviens se sont retrouvés dans le petit matin (enfin 9h ce n'est pas si matinal) pour affronter la fraicheur de l'hiver... 1 tout petit degré au départ et guère plus ensuite, mais le ciel gris a laissé place vers la fin du parcours à quelques percées de ciel bleu et même de soleil. Direction Balma sans détour pour aller saluer nos amis du club de Blagnac qui ont dressé la table devant la maison dans Balma. Photo de famille. Et nous voilà repartis à 10 seulement (sécurité oblige, et oui) et puis parce que nous ne voulons pas infliger à ce pauvre Grégoire le calvaire de celui qu'on attend, et qui se sent contraint de forcer l'allure pour ne pas décevoir. A contrecoeur donc, mais nous le savons vaillant (il en a l'habitude), et nous le laissons avec pour seul compagnon son GPS... Pour nous direction la grande dorsale du coteau Est Toulousain, que notre guide a décidé de nous faire traverser, et comme le tricot de la mémé, une maille à l'endroit, une maille à l'envers, nous tricottons donc sur le coteau, vous l'avez compris, de côte en côte, d'abord vite puis de moins en moins... Flourens, Préserville, Fourquevaux, vers Tarabel, puis Lanta, Valesvilles, et clic et clac, tiens une côte à 17%... Le PSG a en le souffle coupé, il n'arrive plus à nous parler de la victoire hier de son équipe. Et Eric ne raconte plus rien non plus. Le Doc, nous compte qu'avec la perte du trippe A, il se nomme à présent Frnçois Buby (très difficile à prononcer) et que ce n'est pas mieux du président : Pul Rberet (pas facile). Jen-Mrc Lrtigue (pas mieux) tourne bien vite les jambes pour ne pas faire croire à Lolo et Jean-Luc que nous sommes cuits. Et pourtant à Lavalette les carottes commencent à rissoler ! Le camarade de Verfeil nous quitte pour "couper" direct vers ses terres. Et nous rejoignons sans encombre, mais avec quelques tiraillements (le mot est faible) dans mes mollets, le point de départ. "Tout ça va se payer en juin, je vous le dis". C'est l'heure de se séparer sans trop tarder car midi est déjà passé au clocher de Castelmaurou. Bravo à tous et à la semaine prochaine ! Un grand merci à tous d'être venus, et un hyper grand merci à Blagnac pour son point café !

En chiffres : 75 kms, 780m de dénivellé (positif). Moyenne : environ 26 km/h. Ambiance : excellente.